Catégorie Notes
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La pintura sobre tela I, Ana Villarquide (contenu des 9 chapitres)
1. Les matériaux p.13. Les traités p.22. Agglutinants: Maigre (colle, se dilue à l’eau) p.32Gras (huile siccative, se dilue à la térébenthine , sa distillation était déjà évoquée par Pline. p.35. Emulsion (mélange des deux). Pigments p.37ss. Réfraction de la lumière p.50
2. Les traitements p.61. L’enduit p.62ss. L’isolant. P.73. Memling, Gérard David donnaient une première couche de blanc de plomb. Dessin préparatoire p.74ss. Empâtement (couverture de la couche inférieure, volumes) et glacis ou « veladuras » (obscurcissement de couches claires opaques) p.87
3. Le support de toile p.99 Œuvres sur toiles Ucello, Goes p.102
4. Les châssis p.133Toiles, Cadres, clous p.139 ;
5. La Tempera p.143 Terme flou, de l’italien « temperare », agglutiner avec de la colle, gomme ou de l’œuf, sèche rapidement mais rend les transitions tonale délicates à réaliser p.143. Celles à l’œuf et en émulsion soutiennent la comparaison avec l’huile p.148. Œuf entier pour peinture murale, jaune pour panneaux. La dénaturalisation des protéines donne un résultat imperméable et solide. On peut le substituer avec le blanc pour appliquer des couleurs blanc ou azur p.153. Pigments conservés en pot recouverts d’eau (pâte facile à proportionner) Préparation des panneaux p.154, la réalisation et la grisaille du dos p.160, grisailles colorées p.161. Ces dernières ne sont pas forcément vernies. Dans ce cas, il faut encoller au préalable pour éviter l’absorption du vernis. Passer du miel et de l’eau sur le dessin comme retardateur. Bannières et étendards p.165. et sa préparation p.166. L’émulsion (maigre, grasse) p.171 Tempera à la colle. Peu d’œuvres conservées p.175 Technique mixte p.185 & p.194. Elles sont variées mais respectant le principe du gras sur maigre.
6. Peinture à l’huile p.199Siccatifs p.224 pigments métalliques, huile de lin. Retardateurs.
7. Dorure p.239. Pastillage, semis de points p.244.
8. Vernis p.259
9. Peinture moderne p.293
BN latin 6741 Compilation 1431 Jean le Bègue a copié les grands classiques, traités de Théophile, de Pierre de Saint Omer et d’Eraclius (XIIe) sur la peinture. Viennent ensuite des chapitres notés par Jean Archerius à Paris en 1398. Il les a reçus de Jacob Conas (Coens, peintre flamand, d’Antonio de Compendio, enlumineur sans compter d’autres recettes en latin et français
L’apparition de l’écriture gothique en Angleterre dans la 2e moitié du XIIe siècle (et sur le continent au XIIIe) est due à une nouvelle manière de tailler la plume d’oie, non plus en pointe à deux côtés égaux, mais en un biseau très large (pleins énormes, déliés petits). D’où l’obligation de former les lettres de façon très anguleuse.
Textura
Textura
Les saints
"Les dieux païens sont la caricature de cette divinité indifférente ou impuissante aux prières des hommes. Ils n'ont aucune influence sur leur destinée... Le Dieu des chrétines au contraire détient les arrêts de la Providence. Il dépêche aux hommes son représentant : le saint. Dans la lanque du Moyen Age, le saint est désigné souvent par le terme de "baron", qui fait de lui un vassal de Dieu. Comme il est par ailleurs intégré à la cité par ses reliques, qui sont conservées pieusement dans l'abbaye ou dans l'église voisine, le saint, vassal de Dieu, est dont aussi le "baron" tutélaire de la cité : il la protège, la cautionne; il est l'intercesseur omniprésent et tout-puissant de la Divinité. Le Dieu des chrétiens, attentifs aux prières des hommes ne reste pas muet... Dans l'univers chrétien, Dieu et les hommes se parlent. Ils se comprennent aussi."
Pour une dramaturgie du Moyen Age, H. Rey-Flaud.
La légende dorée ... à développer Réf. Google book à intégrer |
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Les mouches | |||
Petrus Chistus | Maître inconnu | Bornemann ? | Crivelli |
Vecteur de peste, selon Pline, la mouche conserve une valeur dysphorique lorsqu'elle accompagne la mort. Avec plus d'optimisme, je préfère la considérer comme un clin d'œil à Giotto. Selon l'anecdote rapportée par Vasari, il aurait, un jour dans sa jeunesse, peint d'une manière si frappante une mouche sur le nez d'une figure commencée par Cimabue que le maître, en se remettant à son travail, essaya plusieurs fois de la chasser avec la main avant de s'apercevoir de sa méprise. Le trompe l'oeil dans l'œuvre de Petrus Christus contribue de manière magistrale à la profondeur et au réalisme du sujet. Symbolisme et talent pour opposer la vanité d'une existence profane à la stricte règle que s'imposent les moines cartusiens.
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